Ingrédients:
* 4 pommes de terre * 3 carottes, émincées * 4 branches de céleri, * botte de persil
* 4 litres d'eau
* sel marin
Peler les pommes de terre. Déposer les pelures (voir ma remarque), le persil, les carottes et le céleri coupés en morceaux dans une casserole avec l'eau. Porter à ébullition puis diminuer et laisser cuire à feu doux pendant 30 minutes.
J'ai ajouté dans le bouillon du romarin et du thym frais, du laurier ainsi qu'une feuille de chou qui passait par là. A noter qu'on utilise ici les pelures des patates, vous trouverez un autre destin à la chair
Dans mon bol j'ai ajouté du gingembre en poudre et un peu de beurre.
Voilà un bon bouillon qui a également ravi mes colocs!
Source : https://www.thehealthyhomeeconomist.com/potassium-broth-for-rapid-recovery-and-rejuvenation/
Salut Clélia, merci pour la recette. Je suis dubitative quant à l'utilisation des pelures de pommes de terre plutôt que de la patate elle-même. C'est là que résident la plupart des « poisons ». J'utilise de l'eau de cuisson de pelures de patate pour désherber le jardin, c'est hyperefficace.
Le fait que la fille de thehealthyeconomist fasse partie de la Weston Price ne la prémunit pas contre des erreurs techniques… Je te proposerais d'utiliser plutôt comme « bouillon de potassium » le « potage de verdures de Bieler » que j'ai repris dans Un Jules en cuisine végé (aussi dans l'ancien « à toute vapeur » de 256 pages). Bieler est au panthéon de mes références tant il était pointu en nutrition de terrain. Il n'utilisait pas toujours la patate, vu les dégâts qu'il voyait chez certains avec les amidons.
En gros : 1 litre d'eau, 150 g de courgettes, 150 g de haricots verts, 150 g de céleri-branche. J'y ai ajouté 1 gousse d'ail et 1 cm de gingembre frais pour faire « cuisine »…
Mon commentaire dans le livre : Ajoutez un dé de beurre de lait cru ou une cuiller à café d'huile d'olive VPPF par personne. Pour un bouillon protéiné, ajoutez un jaune d'œuf cru dans l'assiette. Salez si ça vous chante. Le père Bieler interdisait le sel sous toutes ses formes. Cette pratique systématique a été contredite entre-temps par la pratique sur le terrain d'autres thérapeutes. Je saupoudre parfois d'un peu de levure en paillettes, qui est l'alcalinisant du pauvre, selon le précieux docteur.